31/01/2014
Communique_de_presse_UNPS_-_accessibilite_-_140130.pdf
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les handicapés peuvent vraiment compter sur le sens de la solidarité de certains syndicats médicaux.....
les handicapés peuvent vraiment compter sur le sens de la solidarité de certains syndicats médicaux.....
Être soigné 24h/24 “pèse” 1,3 milliard d’euros par an – Acteurs publics – Informations et analyses sur les politiques publiques et la fonction publique
Être soigné 24h/24 “pèse” 1,3 milliard d’euros par an – Acteurs publics – Informations et analyses sur les politiques publiques et la fonction publique
c'est sur que la solution la moins couteuse à terme c'est de buter tous les vieux, les handicapés, les malades, ça fera de sacré économie ! mais faudra aussi arrêter de nous parler d'égalité, de fraternité, de solidarité et autres bêtises du même genre ......
c'est sur que la solution la moins couteuse à terme c'est de buter tous les vieux, les handicapés, les malades, ça fera de sacré économie ! mais faudra aussi arrêter de nous parler d'égalité, de fraternité, de solidarité et autres bêtises du même genre ......
30/01/2014
29/01/2014
28/01/2014
27/01/2014
26/01/2014
25/01/2014
L’administrateur défend le personnel La verrue sera soignée en mars - SudOuest.fr
L’administrateur défend le personnelLa verrue sera soignée en mars - SudOuest.fr
«Il est dangereux de faire l'amalgame entre maltraitance et dysfonctionnements. »
L'administrateur provisoire de l'IME de Moussaron, nommé par l'ARS, tape du poing sur la table. « Il n'y a pas, ici, de violence physique ou verbale. Au contraire, depuis un mois et demi que je suis ici, je constate un climat de bienveillance et de patience des personnels envers les enfants. »
http://www.sudouest.fr/recherche/index.php?q=moussaron
Campagne « à charge »
Alain Dewerdt veut « rétablir la vérité ». Le fonctionnaire est clair : « Ce que la campagne de presse, à charge, a appelé maltraitance c'est, dans le cas de Moussaron, ce que le rapport de l'ARS nomme des dysfonctionnements. Ceux-ci ont engendré de mauvaises conditions d'hébergement (toilettes pas cloisonnées, par exemple) qui ont fait que le personnel a été obligé de travailler dans ces conditions. » Depuis le reportage de M6 qui filme, juste avant Moussaron, un autre centre où le personnel crie sur les enfants, « les gens font l'amalgame ». Au rayon légumes du supermarché, certains entendent des réflexions désobligeantes, leurs conjoints sont insultés sur leur lieu de travail. Même à l'école, les enfants répètent ce qu'ils entendent à la maison et stigmatisent leurs camarades, répétant que leur « maman frappe des enfants handicapés ». Alain Dewerdt est catégorique : « Les salariés sont à bout. » C'est également ce que nous avons pu constater hier matin.
Pour autant, l'administrateur ne nie pas les graves problèmes. « Je suis justement là pour qu'ils soient réglés, et vite. » Il explique que « les dysfonctionnements se trouvent dans le bâtiment ancien et dans une partie du château. Beaucoup sont déjà traités (lire notre édition du 21 janvier). Le reste le sera avec le réaménagement global de l'institution. » Les boxes en verre se situent justement dans ce bâtiment ancien ainsi que la salle de bain, qui se trouvaient à la vue des lits des enfants les plus atteints. Une cloison a été installée. « Les contentions se font désormais sur prescription écrite. Auparavant, le médecin, Mme Doazan, donnait ses prescriptions oralement. C'est terminé, affirme l'administrateur. Quant aux images de la salle de bain avec plusieurs enfants, elles ont été tournées un jour de surcharge pour des raisons de travaux sur un autre secteur, refusés par l'ARS. » La direction avait un projet de travaux mais n'avait pas déposé les plans à l'ARS.
Pas question donc de fermer l'établissement : « L'ARS en a besoin. » Non plus de virer la direction : « S'il avait fallu le faire, on l'aurait déjà fait. J'ai déjà vu cela dans un cas d'agression sexuelle sur un enfant. C'est autrement plus grave que des dysfonctionnements. »
mon commentaire :
Si cet administrateur a bien tenu ses propos, il est inquiétant qu'il ne connaissance pas les définitions de la maltraitance Les différentes formes de maltraitance
Classification du Conseil de l'Europe (1992) :
- Violences physiques: coups, brûlures, ligotages, soins brusques sans information ou préparation, non-satisfaction des demandes pour des besoins physiologiques,
violences sexuelles, meurtres (dont euthanasie).
• Violences psychiques ou morales: langage irrespectueux ou dévalorisant,
absence de considération, chantages, abus d'autorité, comportements
d'infantilisation, non-respect de l'intimité, injonctions paradoxales.
- Violences médicales ou médicamenteuses: manque de soins de base, non-information sur les traitements ou les soins, abus de traitements sédatifs ou
neuroleptiques, défaut de soins de rééducation, non prise en compte de la
douleur...
- Négligences actives: toutes formes de sévices, abus, abandons, manquements
pratiqués avec la conscience de nuire
- Négligences passives: négligences relevant de l'ignorance, de l'inattention de
l'entourage
- Privation ou violation de droits: limitation de la liberté de la personne, privation de l'exercice des droits civiques, d'une pratique religieuse.
Violences matérielles et financières: vols, exigence de pourboires, escroqueries
diverses, locaux inadaptés.
Des attitudes d'irrespect, des non réponses, des familiarités imposées sont aussi des formes de maltraitance.
Sur la violence institutionnelle, il est conseillé de se référer aux travaux de Madame Lagraula-Fabre, et notamment l'article sur « la violence institutionnelle dans les établissements sociaux et médico-sociaux, une question de droit ? » (publié dans la revue de droit sanitaire et sociale nov.-déc. 2006).
«Il est dangereux de faire l'amalgame entre maltraitance et dysfonctionnements. »
L'administrateur provisoire de l'IME de Moussaron, nommé par l'ARS, tape du poing sur la table. « Il n'y a pas, ici, de violence physique ou verbale. Au contraire, depuis un mois et demi que je suis ici, je constate un climat de bienveillance et de patience des personnels envers les enfants. »
http://www.sudouest.fr/recherche/index.php?q=moussaron
Campagne « à charge »
Alain Dewerdt veut « rétablir la vérité ». Le fonctionnaire est clair : « Ce que la campagne de presse, à charge, a appelé maltraitance c'est, dans le cas de Moussaron, ce que le rapport de l'ARS nomme des dysfonctionnements. Ceux-ci ont engendré de mauvaises conditions d'hébergement (toilettes pas cloisonnées, par exemple) qui ont fait que le personnel a été obligé de travailler dans ces conditions. » Depuis le reportage de M6 qui filme, juste avant Moussaron, un autre centre où le personnel crie sur les enfants, « les gens font l'amalgame ». Au rayon légumes du supermarché, certains entendent des réflexions désobligeantes, leurs conjoints sont insultés sur leur lieu de travail. Même à l'école, les enfants répètent ce qu'ils entendent à la maison et stigmatisent leurs camarades, répétant que leur « maman frappe des enfants handicapés ». Alain Dewerdt est catégorique : « Les salariés sont à bout. » C'est également ce que nous avons pu constater hier matin.
Pour autant, l'administrateur ne nie pas les graves problèmes. « Je suis justement là pour qu'ils soient réglés, et vite. » Il explique que « les dysfonctionnements se trouvent dans le bâtiment ancien et dans une partie du château. Beaucoup sont déjà traités (lire notre édition du 21 janvier). Le reste le sera avec le réaménagement global de l'institution. » Les boxes en verre se situent justement dans ce bâtiment ancien ainsi que la salle de bain, qui se trouvaient à la vue des lits des enfants les plus atteints. Une cloison a été installée. « Les contentions se font désormais sur prescription écrite. Auparavant, le médecin, Mme Doazan, donnait ses prescriptions oralement. C'est terminé, affirme l'administrateur. Quant aux images de la salle de bain avec plusieurs enfants, elles ont été tournées un jour de surcharge pour des raisons de travaux sur un autre secteur, refusés par l'ARS. » La direction avait un projet de travaux mais n'avait pas déposé les plans à l'ARS.
Pas question donc de fermer l'établissement : « L'ARS en a besoin. » Non plus de virer la direction : « S'il avait fallu le faire, on l'aurait déjà fait. J'ai déjà vu cela dans un cas d'agression sexuelle sur un enfant. C'est autrement plus grave que des dysfonctionnements. »
mon commentaire :
Si cet administrateur a bien tenu ses propos, il est inquiétant qu'il ne connaissance pas les définitions de la maltraitance Les différentes formes de maltraitance
Classification du Conseil de l'Europe (1992) :
- Violences physiques: coups, brûlures, ligotages, soins brusques sans information ou préparation, non-satisfaction des demandes pour des besoins physiologiques,
violences sexuelles, meurtres (dont euthanasie).
• Violences psychiques ou morales: langage irrespectueux ou dévalorisant,
absence de considération, chantages, abus d'autorité, comportements
d'infantilisation, non-respect de l'intimité, injonctions paradoxales.
- Violences médicales ou médicamenteuses: manque de soins de base, non-information sur les traitements ou les soins, abus de traitements sédatifs ou
neuroleptiques, défaut de soins de rééducation, non prise en compte de la
douleur...
- Négligences actives: toutes formes de sévices, abus, abandons, manquements
pratiqués avec la conscience de nuire
- Négligences passives: négligences relevant de l'ignorance, de l'inattention de
l'entourage
- Privation ou violation de droits: limitation de la liberté de la personne, privation de l'exercice des droits civiques, d'une pratique religieuse.
Violences matérielles et financières: vols, exigence de pourboires, escroqueries
diverses, locaux inadaptés.
Des attitudes d'irrespect, des non réponses, des familiarités imposées sont aussi des formes de maltraitance.
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24/01/2014
23/01/2014
22/01/2014
21/01/2014
20/01/2014
Humeur : la CFF prête à acheter des trains inaccessibles aux handicapés sans sourciller. | HANDIMOBILITY
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si on se laisse faire aussi en France ça finira pareil ! à quand la révolte ?
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6play > M6 > Enfants handicapés : révélations sur les centres qui les maltraitent
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Tous les Ets ne sont pas maltraitants mais ceux présentés dans ce reportage doivent fermer ou changer radicalement de gouvernance : les pouvoirs publics doivent finir le travail !
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19/01/2014
18/01/2014
Grogne contre le forfait «abusif» de la clinique Ambroise-Paré - 14/01/2014 - LaDépêche.fr
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manif à laquelle je participais pour l'APF, le CIAH et le CISS
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