29/04/2018
27/04/2018
26/04/2018
25/04/2018
(19) Témoignage 11 lu par Laurent Savard pour le CHA - YouTube
(19) Témoignage 11 lu par Laurent Savard pour le CHA - YouTube
Ecoutez puis témoignez ! Pour témoigner anonymement, nous écrire à cha.temoignageprestataires@gmail.com
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24/04/2018
23/04/2018
22/04/2018
Déclaration de l’ANPIHM. Ne tombons pas dans le piège gouvernemental ! Accessibilité du logement loi #ELAN
La Direction Générale de l’Habitat et de l’Urbanisme a été conduite par le Gouvernement dont elle dépend à appeler plusieurs Associations à une rencontre ce mardi 24 avril 2018 pour, paraît-il, définir ensemble le concept « d’évolutivité » et de chercher à le matérialiser.
Voici notre réponse ci-dessous :
Monsieur,
Comme vous le savez, le Gouvernement dont dépend votre Administration, plus sensible aux doléances financières des principaux lobbies immobiliers qu’à l’intérêt général de la population, a décidé que la réglementation définissant depuis le début des années 80 « l’unité de vie » permettant, même de manière partielle, le déplacement d’une personne en fauteuil roulant ne s’appliquerait plus pour 90 % des appartements à construire en rez-de-chaussée ou desservis par ascenseur.
De plus, comme vous le savez aussi, ce toujours pour les mêmes raisons, le Gouvernement se refuse à abaisser l’obligation d’ascenseur de R+4 à R+3 au motif d’une augmentation des coûts de construction et, en conséquence, des charges locatives jugée insupportable pour de nombreux locataires du parc social.
Parallèlement, le Gouvernement encourage, voire contraint les bailleurs sociaux à acheter en VEFA à des promoteurs privés de nombreux appartements neufs (40% de la production d’appartements HLM en 2017), au surcoût induit, selon la Caisse des Dépôts, de 10 % en Région parisienne et 18 % en Province !
Or, la moitié de ce surcoût suffirait à lui seul à financer 2 à 3 fois plus d’ascenseurs que nécessaire, et partant à rendre accessibles tous les appartements des immeubles R+3 à construire ...
Quant à prétexter de l’augmentation des loyers, quand ce même gouvernement vient de diminuer le montant des APL des locataires les plus modestes ...
Dans ces conditions, il apparaît très clairement que votre invitation faite, sur ordre du Gouvernement, à quelques Associations, dont l’ANPIHM, ayant pour motif annoncé de définir avec vous ce fameux concept « d’évolutivité », n’a en réalité que deux objectifs :
Le premier, de tenter d’amoindrir la portée gravissime de l’instauration d’« une politique de quotas » de logements accessibles et habitables immédiatement sans travaux,
Le second, de laisser croire à l’existence d’une véritable concertation entre le Gouvernement et l’Administration d’une part, et les représentants des personnes dites handicapées d’autre part, alors que ce n’est pas et que cela n’a jamais été le cas depuis l’annonce par le Président de la République de ses intentions sur le sujet en juillet 2017, celui-ci et son gouvernement n’ayant pas dévié d’un pouce de leurs objectifs initiaux.
C’est pourquoi, l’ANPIHM n’entendant en aucun cas participer à une grossière opération politique, décline par la présente votre invitation pour le mardi 24 avril.
Dans cet esprit, l’ANPIHM appelle les deux Associations invitées par vos soins à crédibiliser cette manoeuvre gouvernementale décidée en urgence à ne pas tomber dans le piège ainsi tendu et à décliner également votre invitation.
Cordialement.
Vincent Assante. Président de l'ANPIHM
Commentaire d'Odile Maurin : il semblerait que les 2 autres associations invitées sont l' #APF et le #GIHP en souhaitant qu'elles ne tombent pas dans ce piège grossier. Il ne faudrait pas que selon sa bonne habitude, l'APF se fasse de nouveau enfler et que les personnes en situation de handicap payent de nouveau la légèreté des dirigeants de cette association qui prétend de surcroît nous représenter tous
Voici notre réponse ci-dessous :
Monsieur,
Comme vous le savez, le Gouvernement dont dépend votre Administration, plus sensible aux doléances financières des principaux lobbies immobiliers qu’à l’intérêt général de la population, a décidé que la réglementation définissant depuis le début des années 80 « l’unité de vie » permettant, même de manière partielle, le déplacement d’une personne en fauteuil roulant ne s’appliquerait plus pour 90 % des appartements à construire en rez-de-chaussée ou desservis par ascenseur.
De plus, comme vous le savez aussi, ce toujours pour les mêmes raisons, le Gouvernement se refuse à abaisser l’obligation d’ascenseur de R+4 à R+3 au motif d’une augmentation des coûts de construction et, en conséquence, des charges locatives jugée insupportable pour de nombreux locataires du parc social.
Parallèlement, le Gouvernement encourage, voire contraint les bailleurs sociaux à acheter en VEFA à des promoteurs privés de nombreux appartements neufs (40% de la production d’appartements HLM en 2017), au surcoût induit, selon la Caisse des Dépôts, de 10 % en Région parisienne et 18 % en Province !
Or, la moitié de ce surcoût suffirait à lui seul à financer 2 à 3 fois plus d’ascenseurs que nécessaire, et partant à rendre accessibles tous les appartements des immeubles R+3 à construire ...
Quant à prétexter de l’augmentation des loyers, quand ce même gouvernement vient de diminuer le montant des APL des locataires les plus modestes ...
Dans ces conditions, il apparaît très clairement que votre invitation faite, sur ordre du Gouvernement, à quelques Associations, dont l’ANPIHM, ayant pour motif annoncé de définir avec vous ce fameux concept « d’évolutivité », n’a en réalité que deux objectifs :
Le premier, de tenter d’amoindrir la portée gravissime de l’instauration d’« une politique de quotas » de logements accessibles et habitables immédiatement sans travaux,
Le second, de laisser croire à l’existence d’une véritable concertation entre le Gouvernement et l’Administration d’une part, et les représentants des personnes dites handicapées d’autre part, alors que ce n’est pas et que cela n’a jamais été le cas depuis l’annonce par le Président de la République de ses intentions sur le sujet en juillet 2017, celui-ci et son gouvernement n’ayant pas dévié d’un pouce de leurs objectifs initiaux.
C’est pourquoi, l’ANPIHM n’entendant en aucun cas participer à une grossière opération politique, décline par la présente votre invitation pour le mardi 24 avril.
Dans cet esprit, l’ANPIHM appelle les deux Associations invitées par vos soins à crédibiliser cette manoeuvre gouvernementale décidée en urgence à ne pas tomber dans le piège ainsi tendu et à décliner également votre invitation.
Cordialement.
Vincent Assante. Président de l'ANPIHM
Commentaire d'Odile Maurin : il semblerait que les 2 autres associations invitées sont l' #APF et le #GIHP en souhaitant qu'elles ne tombent pas dans ce piège grossier. Il ne faudrait pas que selon sa bonne habitude, l'APF se fasse de nouveau enfler et que les personnes en situation de handicap payent de nouveau la légèreté des dirigeants de cette association qui prétend de surcroît nous représenter tous
21/04/2018
20/04/2018
Yanous ! Editorial. Force et faiblesses du plan Autisme.
Yanous ! Editorial. Force et faiblesses du plan Autisme.
merci à Isabelle pour cette analyse argumentée qui montre une fois encore à quel point ce président et ce gouvernement n'ont pas saisi leur responsabilité et continue à faire de la comm tout en ne changeant rien ou pas grand chose au logiciel qui limite nos vies et nos droits, notre citoyenneté et notre inclusion dont ils se réclament pourtant à tout va : elle est belle la priorité handicap : révolte !
merci à Isabelle pour cette analyse argumentée qui montre une fois encore à quel point ce président et ce gouvernement n'ont pas saisi leur responsabilité et continue à faire de la comm tout en ne changeant rien ou pas grand chose au logiciel qui limite nos vies et nos droits, notre citoyenneté et notre inclusion dont ils se réclament pourtant à tout va : elle est belle la priorité handicap : révolte !
Société inclusive : la CNSA veut une définition claire de l' "inclusivité"
Société inclusive : la CNSA veut une définition claire de l' "inclusivité"
« La présidente du
conseil de la CNSA va plus loin en parlant de « logique domiciliaire » : les
personnes âgées ou handicapées, en établissements sont-elles, dans leur
chambre, chez elles ou dans l’établissement ? « La personne peut-elle recevoir
son petit-fils qui arrive à minuit ? Peut-elle manger thaï à midi si elle le
souhaite… » détaille-t-elle pour expliciter la théorie. En établissement, «
c’est la ligne de partage entre inclusif et non-inclusif ».
Approche intéressante
En résumé les personnes sont-elles autonomes malgré la dépendance ou pas ?
Belle de nuit pour des ados de Metz. Trente-deux jeunes d'un foyer ont fugué. Pour se faire entendre et faire la fête. - Libération
Belle de nuit pour des ados de Metz. Trente-deux jeunes d'un foyer ont fugué. Pour se faire entendre et faire la fête. - Libération
on peut donc encore espérer de la jeunesse
on peut donc encore espérer de la jeunesse
19/04/2018
18/04/2018
(19) 1er témoignage lu par Laurent Savard pour la Coordination Handicap Autonomie - YouTube
(19) 1er témoignage lu par Laurent Savard pour la Coordination Handicap Autonomie - YouTube
La COORDINATION HANDICAP ET AUTONOMIE a lancé un APPEL NATIONAL A TÉMOIGNAGES pour faire entendre la parole des usagers des services prestataires de soins et/ou d'aide humaine qui dysfonctionnent voire maltraitent. Ce témoignage anonyme a été reçu dans le cadre de l'appel à témoignage que vous pouvez lire ici ( http://coordination-handicap-autonomi...) et nous écrire à cha.temoignageprestataires@gmail.com
La COORDINATION HANDICAP ET AUTONOMIE a lancé un APPEL NATIONAL A TÉMOIGNAGES pour faire entendre la parole des usagers des services prestataires de soins et/ou d'aide humaine qui dysfonctionnent voire maltraitent. Ce témoignage anonyme a été reçu dans le cadre de l'appel à témoignage que vous pouvez lire ici ( http://coordination-handicap-autonomi...) et nous écrire à cha.temoignageprestataires@gmail.com
17/04/2018
16/04/2018
15/04/2018
14/04/2018
13/04/2018
11/04/2018
10/04/2018
09/04/2018
08/04/2018
Le bal des pompiers - bibliotheque
Le bal des pompiers - bibliotheque
A Toulouse ce dimanche à 15h30 à la médiathèque Cabanis : j'y serai
A Toulouse ce dimanche à 15h30 à la médiathèque Cabanis : j'y serai
07/04/2018
Logement : « Les nouvelles normes handicap sont un compromis raisonnable » - La Croix
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nouvelle exemple de désinformation : encore une journaliste qui ne vérifie pas ses infos
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Yanous ! L'actualité du handicap en France - Mars, avril 2018. APF a-t-elle approuvé quota ?
Yanous ! L'actualité du handicap en France - Mars, avril 2018.
Mercredi 4 avril - Logement - L'APF a-t-elle approuvé le quota ?
Dans une interview accordée à LCI, le ministre en charge du Logement, Jacques Mézard, affirme que l'Association des Paralysés de France n'a pas désapprouvé l'instauration d'un quota de logements accessibles : "Le sujet a été évoqué très clairement lors du conseil interministériel sur le handicap du20 septembre, avec les propositions incluses dans ce projet de loi. Et pour avoir reçu le président de l'Association des paralysés de France (APF), c'est un sujet qui à l'époque ne soulevait pas de réactions négatives." Or, l'APF conteste maintenant la création d'un quota de 10% de logements accessibles introduit dans le projet de loi de réforme. Ce que le ministre apprécie ainsi : "Il y a, et c'est habituel en la matière, une certaine émulation, pour ne pas dire concurrence, entre les associations, ce qui fait qu'il y a des changement de postures avant la présentation du projet de loi. C'est habituel. Mais la réalité, c'est que nous nous sommes entretenus avec le président de l'APF dans mon bureau, sur des termes qui étaient exactement ceux du projet de loi." Dans un communiqué, l'APF répond que les "réunions et échanges préparatoires qui ont bien eu lieu ne sont pas pour autant synonymes d'adhésion au projet de loi" et dénonce "le manque de considération du Ministre pour le travail des associations. Non, elles ne sont pas en concurrence, ni dans un jeu de postures vis-à-vis du gouvernement, elles défendent au quotidien les droits des personnes dans un contexte aujourd'hui particulièrement difficile." Elle conclut sur sa "totale incompréhension face à ce projet de loi qui constitue une grave régression sociale pour l'accès au logement des personnes en situation de handicap et des personnes âgées, à l'heure même où le gouvernement souhaite promouvoir la vie à domicile". Dans son avis rendu le 29 mars, le Conseil d'Etat considère d'ailleurs que la rédaction actuelle des dispositions sur l'accessibilité du Code de la construction et de l'habitation "ne s'avère pas, au regard de l'objectif de valeur constitutionnelle d'accessibilité et d'intelligibilité de la loi, satisfaisante." Lire aussi cet Éditorial.
Mercredi 4 avril - Logement - L'APF a-t-elle approuvé le quota ?
Dans une interview accordée à LCI, le ministre en charge du Logement, Jacques Mézard, affirme que l'Association des Paralysés de France n'a pas désapprouvé l'instauration d'un quota de logements accessibles : "Le sujet a été évoqué très clairement lors du conseil interministériel sur le handicap du20 septembre, avec les propositions incluses dans ce projet de loi. Et pour avoir reçu le président de l'Association des paralysés de France (APF), c'est un sujet qui à l'époque ne soulevait pas de réactions négatives." Or, l'APF conteste maintenant la création d'un quota de 10% de logements accessibles introduit dans le projet de loi de réforme. Ce que le ministre apprécie ainsi : "Il y a, et c'est habituel en la matière, une certaine émulation, pour ne pas dire concurrence, entre les associations, ce qui fait qu'il y a des changement de postures avant la présentation du projet de loi. C'est habituel. Mais la réalité, c'est que nous nous sommes entretenus avec le président de l'APF dans mon bureau, sur des termes qui étaient exactement ceux du projet de loi." Dans un communiqué, l'APF répond que les "réunions et échanges préparatoires qui ont bien eu lieu ne sont pas pour autant synonymes d'adhésion au projet de loi" et dénonce "le manque de considération du Ministre pour le travail des associations. Non, elles ne sont pas en concurrence, ni dans un jeu de postures vis-à-vis du gouvernement, elles défendent au quotidien les droits des personnes dans un contexte aujourd'hui particulièrement difficile." Elle conclut sur sa "totale incompréhension face à ce projet de loi qui constitue une grave régression sociale pour l'accès au logement des personnes en situation de handicap et des personnes âgées, à l'heure même où le gouvernement souhaite promouvoir la vie à domicile". Dans son avis rendu le 29 mars, le Conseil d'Etat considère d'ailleurs que la rédaction actuelle des dispositions sur l'accessibilité du Code de la construction et de l'habitation "ne s'avère pas, au regard de l'objectif de valeur constitutionnelle d'accessibilité et d'intelligibilité de la loi, satisfaisante." Lire aussi cet Éditorial.
06/04/2018
05/04/2018
Les handicapés, victimes collatérales du projet de loi Logement ? Le ministre Jacques Mézard s'explique - LCI
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le jour où le président de l'APF comprendra qu'on ne négocie pas avec ceux qui veulent réduire nos droits sous peine de se faire instrumentaliser et rouler dans la farine, on avancera. Il faut s'attaquer aux intérêts économiques pour être écoutés et entendus dans ce pays...
le jour où le président de l'APF comprendra qu'on ne négocie pas avec ceux qui veulent réduire nos droits sous peine de se faire instrumentaliser et rouler dans la farine, on avancera. Il faut s'attaquer aux intérêts économiques pour être écoutés et entendus dans ce pays...
Georges Méric : «Nous affirmons des valeurs de gauche» - 03/04/2018 - ladepeche.fr
Georges Méric : «Nous affirmons des valeurs de gauche» - 03/04/2018 - ladepeche.fr
Peut-on réellement parler de valeurs de gauche quand l'élu en charge du personnel se fout royalement de la situation des travailleurs handicapés de la collectivités ? Quand la DRH suscite de la souffrance professionnelle faute de mettre réellement en place, et suffisamment, toutes les compensations nécessaires pour permettre aux agents reconnus handicapés de continuer à travailler sachant que c'est le FIPHFP qui paye cette compensation.
Gachis de talents par ailleurs quand des agents dont les compétences sont reconnus y compris en dehors de la collectivité, sont poussés à la démission faute d'une DRH et d'élus qui ne se forment pas sur le handicap et sa prise en compte dans le travail.
Affaire à suivre...
Peut-on réellement parler de valeurs de gauche quand l'élu en charge du personnel se fout royalement de la situation des travailleurs handicapés de la collectivités ? Quand la DRH suscite de la souffrance professionnelle faute de mettre réellement en place, et suffisamment, toutes les compensations nécessaires pour permettre aux agents reconnus handicapés de continuer à travailler sachant que c'est le FIPHFP qui paye cette compensation.
Gachis de talents par ailleurs quand des agents dont les compétences sont reconnus y compris en dehors de la collectivité, sont poussés à la démission faute d'une DRH et d'élus qui ne se forment pas sur le handicap et sa prise en compte dans le travail.
Affaire à suivre...
04/04/2018
02/04/2018
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