31/07/2011
Troisième rapport sur l'avancement du Plan cancer 2009-2013
et si on luttait vraiment contre les causes environnementales ??? mais cela nécessiterait de s'opposer à nos chers industriels ...
Médicament : la future loi anti-Mediator serre la vis des industriels | Le Cercle Les Echos
insuffisant ; je suis pour la fin de la visite médicale par les représentants des labos et pour des experts qui n'ont aucun lien avec les industriels au lieu de la déclaration des liens financiers
Perturbateurs endocriniens, phtalates, parabènes, alkylphénols, santé. En bref - Actualités - Vie-publique.fr
la meilleure précaution, c'est de les interdire contrairement à la volonté du gouvernement poussé par les industriels !
30/07/2011
Après Médiator, la presse vante une utilisation détournée d'un médicament... - AgoraVox le média citoyen
Le baclofène qui représente un espoir réel pour beaucoup d'alcooliques méritait un article moins partial et la différence entre Mediator et Baclofene c'est que Servier a poussé à la roue pour prescrire hors AMM alors que pour le Baclofène et s'agissant d'un traitement pour des alcoolo, on n'est pas dans la même histoire- et pour lutter contre les pressions des labos, commençons par interdire les visites chez les médecins plutôt que des prescriptions hors AMM qui peut avoir de l'intérêt dans certains cas !
Aide sociale à l'hébergement : faut-il supprimer l'obligation alimentaire ? - Localtis.info un service Caisse des Dépôts
Personnes âgées Publié le mardi 26 juillet 2011
Vivre en maison de retraite coûte cher. Lorsque les personnes âgées dépendantes ne peuvent payer le vivre et le couvert, les conseils généraux leur apportent une "aide sociale à l'hébergement". Dans le cadre de la réforme de la dépendance, un rapport de l'Igas propose une refonte en profondeur de ce dispositif.
L'Inspection générale des affaires sociales (Igas) rend public son rapport consacré aux "Modalités de mise en œuvre de l'aide sociale à l'hébergement" en établissement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad). Commandé par Roselyne Bachelot-Narquin en mars dernier, ce rapport devrait intéresser tout particulièrement les conseils généraux, puisque ces derniers assument l'essentiel de cette forme d'aide sociale au profit des personnes dont les ressources ne leur permettent pas d'acquitter le tarif d'hébergement en établissement. L'état des lieux établi par l'Igas s'appuie sur une mission de terrain dans cinq départements (Cantal, Creuse, Hauts-de-Seine, Seine-Maritime et Vaucluse), ainsi que sur l'exploitation d'un questionnaire détaillé adressé à tous les conseils généraux. En dépit de quelques spécificités locales, le constat qui se dégage semble largement partagé sur l'ensemble du territoire. Et il est loin d'être positif.
Une procédure complexe, coûteuse et injuste
Tout d'abord, l'Igas constate une "relative stabilité" - en volume - du nombre de bénéficiaires de l'aide sociale à l'hébergement (ASH), en dépit de la forte progression du nombre de personnes âgées et de celle des tarifs d'hébergement. Ceci pourrait s'expliquer à la fois par le développement rapide des dispositifs de maintien à domicile (dont la création de l'allocation personnalisée d'autonomie constitue l'exemple le plus emblématique), mais aussi par l'amélioration globale des revenus des retraités. L'aide sociale à l'hébergement n'a toutefois rien de marginale, puisque l'ASH nette (déduction faite d'autres aides comme les aides au logement) représentait, en 2007, 850 millions d'euros pour 87.000 bénéficiaires, soit 19% des résidents en Ehpad.
Au regard de ces évolutions, les règles relatives à la gestion de l'ASH apparaissent pour le moins complexes, du fait de la mise en œuvre de l'obligation alimentaire et de la récupération sur succession. La première pèse lourdement sur l'instruction des demandes d'ASH. L'Igas constate en effet que "la recherche des informations sur les obligés alimentaires et [le] circuit des dossiers de demandes entre établissements, centres communaux d'action sociale et conseils généraux constitue un dernier élément de dissuasion, en particulier pour les établissements d'hébergement". S'il n'est pas possible de reconstituer le coût de ces démarches du fait de la multiplicité des intervenants (départements, CCAS, établissements, services payeurs...), celui-ci est "vraisemblablement élevé au regard des sommes concernées et du nombre de bénéficiaires". Autre facteur pénalisant pointé par le rapport : la complexité des règles nationales ou locales de l'ASH, qui "se combine à une diversité des pratiques départementales portant notamment sur le champ et les barèmes de l'obligation alimentaire, dont la publicité est aujourd'hui limitée". Conséquence : "cette insécurité juridique renforce le caractère dissuasif de ces deux composantes de cette aide sociale" (autrement dit l'obligation alimentaire et la récupération sur succession). Enfin, il apparaît que la mise en œuvre de l'obligation alimentaire donne une sorte de prime aux "mauvais payeurs" - pour lesquels des mesures de contrainte sont rarement prononcées -, au détriment des autres obligés (par exemple dans le cas d'une fratrie). Ceci s'explique notamment par le fait que "l'obligation alimentaire ne semble plus comprise par les demandeurs et leurs familles. Restant en vigueur pour la seule ASH parmi les prestations d'aide sociale, sa mise en œuvre suscite des conflits et des contentieux dont l'impact sur des personnes vulnérables est, selon les interlocuteurs de la mission, désastreux".
Une mesure radicale, mais pas révolutionnaire
Face à ce constat, l'Igas propose deux options : soit maintenir l'obligation alimentaire pour l'ASH mais avec "des aménagements substantiels" (auxquels les auteurs ne semblent guère croire eux-mêmes), soit la supprimer, comme cela est déjà le cas pour toutes les autres formes d'aide sociale. Radicale, la mesure n'est pas pour autant révolutionnaire : elle constitue en effet l'une des 55 propositions de l'Association des départements de France (ADF), formulées dans le cadre de sa récente contribution au débat national sur la dépendance (voir notre article ci-contre du 20 mai 2011). L'Igas rappelle toutefois les conséquences d'une telle mesure. Côté positif, elle mettrait un terme aux dysfonctionnements constatés (diversité des barèmes, délais et complexité d'instruction, contentieux, coût du recouvrement). Mais, côté ombre, elle "aurait des conséquences financières par la disparition d'une recette d'abord, par l'augmentation du nombre de demandeurs surtout". La mission indique toutefois que cet impact financier est difficile à évaluer, d'autant plus que des effets de substitution sont possibles avec le maintien à domicile. Par ailleurs, si une loi venait à être votée pour supprimer la mise en jeu de l'obligation alimentaire, les départements pourraient difficilement réclamer à l'Etat la compensation de la mesure, alors qu'ils seraient pour partie à son origine.
Sur la récupération sur succession, l'Igas propose un maintien, mais avec une modernisation. Celle-ci passerait notamment par l'instauration d'un plancher de récupération, qui éviterait d'engager des démarches lourdes pour de faibles montants escomptés. Le rapport propose de fixer ce plancher à 3.000 euros. De même, les auteurs préconisent "d'adapter les modalités de récupération de l'ASH pour la rendre plus effective". Ceci vise en particulier les libéralités et l'assurance vie, ce qui rejoint une autre proposition de l'ADF, qui souhaite une prise en compte des contrats d'assurance vie dans les recours sur succession. Enfin, l'Igas préconise que les départements "puissent au minimum engager des échanges d'informations avec les services fiscaux et les autres organismes engageant de telles opérations", comme les caisses de retraite. De même, il pourrait être envisagé de déléguer aux caisses de retraite - "qui les pratiquent davantage" - la gestion de ces procédures.
Jean-Noël Escudié / PCA
En savoir plus
Aller plus loin sur le web
Il va falloir payer pour aller aux prud'hommes - Libération
accès au droit de plus en plus difficile !
29/07/2011
Alcoolisme : un essai clinique pour évaluer le baclofène | Le Quotidien du Medecin
une bonne nouvelle .... à noter que le baclofène est actuellement prescrit hors AMM et que X Bertrand suite à l'affaire du Mediator veut empêcher les prescriptions hors AMM....
"Mon conjoint est handicapé" : la ministre répond | Rue89
Désolée Mme Montchamp mais vous n'êtes pas convaincante : quel que soit votre volonté, vous n'avez pas choisi le bon gouvernement et le bon président visiblement !
Pour Servier, avoir prescrit le Mediator hors AMM est « une faute » | Le Quotidien du Medecin
l'art de botter en touche alors que tout a été fait pour vendre un max de ce médoc
Le Conseil constitutionnel vole au secours des handicapés
il était temps : les attaques contre l'accessibilité doivent cesser
Conseil Constitutionnel - Communiqué de presse - 2011-639 DC
Le conseil constitutionnel censure partiellement la loi du sénateur Blanc sur les MDPH qui en profitait pour déroger à l'accessibilité universelle : bonne nouvelle !!!
Réseau Education Sans Frontières -28/07/11 ARDI EST REVENU !!!!!!
enfin une bonne nouvelle mais dans quel état de santé revient-il et retrouvera-t-il un peu d'autonomie ???
28/07/2011
Retour du polyhandicapé expulsé de France : "L'Etat a menti" | Rue89
une histoire bien dégueulasse qui montre jusqu'au le pouvoir est capable d'aller pour légitimer sa politique et même avec le retour d'Ardy, s'il s'avère effectif, il aura beaucoup perdu !
27/07/2011
Une formation sur les valvulopathies médicamenteuses retoquée par le FAF-PM | Le Quotidien du Medecin
le lobby des labos et de certains médecins n'aiment pas vraiment que l'info passe ...
Appel à projets pour le maintien de l’autonomie par l’activité physique | Le Quotidien du Medecin
bonne initiative mais se donnera-t-on les moyens ?
26/07/2011
Labège. Handicap : l'aventure de J-P Gardette dans l'Atlas - Haute-Garonne : Ladépêche.fr
le président de Solhandi, un type bien que je connais un peu et qui aide des handi marocains
A Fukushima, le gouvernement japonais assassine sa population… - Twitter, Facebook
questions de santé publique complétement éludées au profit du lobby nucléaire
25/07/2011
Handicap: un nouveau service au sein du Centre pour l'égalité des chances - RTBF Belgique
en France on se pré-occupe pas trop d'appliquer la convention internationales des PH que l'on a ratifié récemment ....
Lalibre.be - Une personne de contact "handicap" dans chaque administration
les belges ont parfois de bonnes idées
COMPTE RENDU DE LA RÉUNION DU FIPHFP DU 30 JUIN 2011 par un des administrateurs (syndicats)
Le comité national du FIPHFP s’est réuni le 30 juin dernier en voici le compte rendu.
La séance s’est ouverte par une déclaration commune des collèges organisations syndicales et associations visant à demander le report de la réunion du comité national fixé au 28 juillet Tant pour des raisons de forme, que de fond. Après discussion la réunion du comité national est fixé au 14 septembre et les réunions des commissions aides et finances au 1er septembre.
En effet, il y a une volonté manifeste d’utiliser les réserves du fonds et
la déclaration du président de la république lors de la conférence nationale
du handicap du 8 juin est très claire.
I. Bilan de la conférence nationale sur le handicap du 8 juin.
Concernant cette journée du 8 juin, il ressort des différentes interventions que malgré le travail important mené en amont tant par l’ONFRI que le CNCPH un sentiment (on ne nous a pas entendu) notamment signe négatif concernant les dérogations dans le bâti neuf, sur l’emploi sur les 150 ME interrogations sur les écoles du service public, sur les AVS. pour les organisations syndicales celles-ci considèrent qu’elles ont été mises sur la touche. C’est un très mauvais signe qui a été donné ce qui montre bien la faiblesse des annonces en matière d’emploi (pas de recul sur les AVS, sur le suivi des cap-emploi, les établissements protégés). Pour les OS, les réserves doivent être avant tout utilisées pour l’emploi des travailleurs handicapés. Pour l’UNSA la politique menée est liée à la RGPP et on constate que trop souvent des personnes se retrouvent sur la touche notamment à cause du non renouvellement des CAE. Il n’y a pas de progression et manifestement il y a un manque réel de volonté politique pour lever les obstacles. Pour la CGT on attendait rien de la CNH donc pas de déception particulière. Les réserves du FIPHFP intéressent beaucoup de monde et on a déjà l’expérience de ce qui c’est passé à l’AGEFIPH. Il est important de poursuivre la réflexion sur l’emploi, travailler encore sur le catalogue des aides. Enfin, pour les conventions veiller à les mettre réellement en œuvre et savoir clairement comment les crédits sont utilisés. Pour la CGT, la communication a été faite et désormais, la balle est dans le camp des employeurs publics.
Pour SOLIDAIRE, il faut peser davantage sur les bilans des conventions et en particulier sur les aspects qualitatifs.
Le président du fonds rappelle quant à lui que pour les conventions, les avances existent, que le catalogue est encore à compléter. Il ajoute, que le taux de 6% d’emploi doit être appliqué mais il observe que l’on voit de moins en moins de vrais handicapés. La CFPSAA, confirme cette tendance et demande une réelle réflexion sur le recrutement et les types d’handicaps dans la mesure où la suppression des catégories pénalise avant tout les personnes lourdement handicapées notamment les déficients visuels.
II. Examen et vote du projet de délibération portant approbation du rapport annuel 2010 (délibération no-2011606601.
La délibération a été adoptée à l’unanimité 14 pour.
Le rapport d’activité retrace bien l’ensemble de l’activité qui a été menée, le fonctionnement du comité national ainsi que de ses comités locaux.
III. Commission des finances.
Examen et vote du projet de convention de partenariat entre le FIPHFP et la caisse nationale de solidarité pour l’autonomie CNSA dans le cadre du dispositif expérimental sur l’employabilité des personnes handicapées (délibération 2011-06-02.
Cette convention par l’intermédiaire de la CNSA vise à apporter à 10 MDPH des moyens financiers afin qu’elles puissent suivre tout au long de la période les dossiers tant sur les aspects administratifs que techniques. La convention porte sur 400 000 euros. Vote 11 pour et 3 abstentions.
Examen et vote de la délibération sur les frais de déplacement pour les journées des comités locaux (délibération 2011-06-03). Il s’agit d’une délibération technique permettant de prendre un niveau de frais supplémentaire adoption à l’unanimité 14 pour.
IV. Commission des partenariats-communication.
Premier bilan de la convention de partenariat avec l’association nationale pour la formation permanente du personnel hospitalier. (ANFH).Cette convention a été appliquée en 2010 sur les deux régions tests PACA et Languedoc-Roussillon. Les éléments quantitatifs et qualitatifs mettent bien en évidence un réel effort de formation en vue de mieux reclasser un certain nombre de personnes handicapées employées au sein de la fonction publique hospitalière.
V. Commission des aides.
Le nombre de demandes restent important. Les nouvelles procédures qui ont été mises en place ont permit de faire diminuer le stock d’aides existant. En moyenne, il faut 6 mois maximum pour qu’un dossier soit totalement traité ou rejeté.
EDOUARD FERRERO Administrateur du FIPHFP.
Accessibilité des bâtiments : un projet de loi pour des dérogations ? : 25-07-2011 - Batiweb.com
ce gouvernement se fout vraiment du handicap : seul le fric compte pour le profit de quelques uns ....
LCP Assemblée nationale | Vivre sans toit, Documentaire réalisé par : Stéphan Mozskowicz diffusé sur LCP dans le cadre de la Transversale de Décembre: « Survivre »
Deux lits de psychiatrie fermés, une hospitalisation non volontaire en plus
Deux lits de psychiatrie fermés, une hospitalisation non volontaire en plus
Publié le 21/07/2011 | 1 réaction |
La fermeture de lits de psychiatrie ne va pas sans soulever de nombreux problèmes dont la presse se fait régulièrement l’écho, malheureusement souvent dans la rubrique des faits divers. La France n’est pas la seule à avoir mis en place ces mesures, nos voisins d’Outre-Manche sont soumis aux mêmes restrictions et le contingent de lits de psychiatrie a considérablement diminué en Angleterre depuis 1988.
Dans le même temps, ont été mises en place des structures et des équipes de proximité, comme alternatives à l’hospitalisation.
Ces structures ne semblent toutefois pas régler tous les problèmes. C’est en tous cas ce qui ressort d’une étude réalisée en Angleterre. Les auteurs ont conçu ce qu’ils appellent une étude « écologique » dans le but d’éclaircir un point précis. Les données disponibles pointent en effet une augmentation régulière et continue des hospitalisations non volontaires en secteur psychiatrique, depuis 1983. La question est de savoir si cette augmentation est ou non en lien avec la fermeture des lits d’hospitalisation.
Entre 1988 et 2008, alors que la réduction des lits d’hospitalisation dépassait les 60 %, les hospitalisations non volontaires augmentaient aussi de plus de 60 %. Deux lits fermés se soldent l’année suivante par une hospitalisation non volontaire en plus (- 0,60, IC 95 % – 1,06 à – 0,15). Ces évolutions semblent relativement synchrones, avec un décalage d’un an. Le lien est particulièrement étroit pour les fermetures de lits non sécurisés et les hospitalisations à la demande d’un tiers, plus que pour les hospitalisations d’office qui sont stables pendant toute la période étudiée.
Les auteurs estiment fort peu réaliste l’idée d’une augmentation de 60 % des pathologies psychiatriques en Angleterre entre 1988 et 2008. Ils avancent donc d’autres hypothèses. Il est probable que la pénurie de lits allonge les délais d’hospitalisation volontaire, voire la rende impossible, conduisant à des situations critiques nécessitant une hospitalisation non volontaire. Il se peut aussi que les hospitalisations de plus en plus brèves laissent sortir des patients dont les troubles ne sont pas vraiment contrôlés et dont l’état se dégrade peu à peu après leur retour à domicile ou qui ne peuvent pas être pris en charge par les équipes de proximité. Une autre hypothèse fait valoir un changement d’attitude des patients et des médecins vis-à-vis de l’hospitalisation non volontaire, mais cela ne suffirait sans doute pas à expliquer l’amplitude des variations.
Si le design de l’étude ne permet pas de réponse définitive, le résultat met toutefois en évidence la nécessité d’anticiper sur les conséquences des fermetures de lit d’hospitalisation en psychiatrie, et suggère la nécessité de développer les structures d’accueil de proximité et de les doter de moyens sérieux pour recevoir et suivre au plus près les patients
Dr Roseline Péluchon
Keown P et coll. : Association between provision of mental illness beds and rate of involuntary admissions in the NHS in England 1988-2008: ecological study. BMJ, 2011; 343: d3736. doi: 10.1136/bmj.d3736
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Journée de solidarité: l'égalité devant la loi respectée
en tout cas, selon le Conseil constitutionnel ....
Nutrition et obésité : priorité aux personnes les plus vulnérables
fort lien entre situation sociale et obésité : i les t vrai que nombres de personnes ne peuvent avoir une alimentation diversifiée et de qualité quand elles vivent sous le seuil de pauvreté !
24/07/2011
Hospitalisation à domicile : litige CNAM syndicats
pour le développement de la HAD très inégal selon les territoires
Paiement à la performance des médecins : en route vers le chaos
excellent ! je suis moi aussi très sceptique quant aux démarches qualités qui progressent au rythme de l'augmentation de la maltraitance et du mauvais travail !
La sous-déclaration des accidents du travail et maladies professionnelles persiste, voire s'accentue
La sous-déclaration des accidents du travail et maladies professionnelles persiste, voire s'accentue
20/07/11 - C'est ce qu'indique le rapport triennal de Noël Diricq, approuvé le 5 juillet 2011 par la commission d'évaluation de la sous-déclaration des AT-MP de la Cour des comptes, dévoilé en avant-première par la lettre Protection Sociale Informations (20-07) qui lui consacre un dossier. Le montant annuel de cette sous-déclaration est estimé entre 587 millions d'euros et 1,1 milliard d'euros, d'ici à 2014. Des chiffres en légère hausse par rapport aux fourchettes basse et haute qu'il avait déterminées lors du précédent rapport de 2008 (+ 22,3 et 94,9 millions d'euros). L'écart était plus important de 2005 à 2008, souligne le magistrat de la Cour des comptes. Cette évaluation destinée au Parlement et au gouvernement permettra de fixer le montant du versement annuel de la branche AT-MP à la branche maladie pour les trois ans à venir dans la prochaine LFSS. De 2009 à 2011, il avait atteint 710 millions d'euros.
Le rapport explique la persistance de la sous-déclaration par la formation initiale, mais aussi complémentaires (FPC), des médecins qui n'avance pas, et le mécanisme de révision des tableaux dont le bilan est mitigé. Créer de nouveaux tableaux et rectifier les anciens s'avère indispensable pour avancer dans la lutte contre la sous-déclaration, estime le rapport. Noël Diricq se félicite toutefois que "quasiment toutes les préconisations de la commission faites en 2008 ont été suivies d'effets". PSI cite les préconisations "en matière d'information des salariés (document unique) ; de « suivi post-professionnel qui reste aujourd'hui modeste en dehors du cas de l'amiante » (poussières de bois, etc.) ; d'aide à la déclaration de la maladie et à l'accompagnement des victimes, de collecte de l'information et de données épidémiologiques (cancers bronchitiques primitifs, etc.) ; de « réduction des disparités de doctrine et/ou de résultats entre les CPAM et les comités régionaux de reconnaissance des maladies professionnelles (CRRMP)". Le rapport relève également que la France fait bonne figure dans le domaine des maladies professionnelles reconnues. Elle surpasse ses voisins européens, les TMS étant davantage repérés qu'ailleurs.
> Protection Sociale Informations (20-07)
23/07/2011
Fukushima : après le "Melt-through", le "Melt-out" : le corium attaque les nappes phréatiques - Le blog de Fukushima
parce que ce qui se passe au Japon aura à terme des conséquences en matière de santé publique partout
22/07/2011
La CNSA publie les chiffres clés de l'aide à l'autonomie - Localtis.info un service Caisse des Dépôts
La création des ARS, événement phare de 2010
En même temps que ces chiffres clés de l'aide à l'autonomie, la CNSA publie son rapport d'activité 2010. Au-delà de la restitution détaillée d'une année d'activité, le rapport retient comme événement phare de 2010 la mise en place des agences régionales de santé (ARS). Pour les dirigeants de la CNSA, "cette réforme est d'abord l'espoir et l'exigence d'une meilleure intégration des différentes dimensions de la santé au service de la qualité des parcours de soins et d'accompagnement des personnes âgées et handicapées, que leurs besoins relèvent de soins de ville, d'un établissement de soins ou d'une structure médico-sociale". La loi Hôpital, patients, santé et territoires (HPST) du 21 juillet 2009 et la mise en place des ARS qui en découle ont "aussi renforcé le besoin de mise en cohérence des politiques au niveau territorial, au premier chef entre agences régionales de santé et conseils généraux, qui sont les deux réseaux de partenaires de la CNSA pour la mise en œuvre des moyens qui lui sont confiés et qui se sont élevés en 2010 à plus de 19 milliards d'euros".La fin d'un cycle budgétaire
Sur le plan financier, on retiendra en effet que le budget exécuté 2010 s'est élevé à 19,158 milliards d'euros, pour un budget initial de 18,569 milliards. L'essentiel de cet écart s'explique par l'effet conjugué des plans d'aide à l'investissement et de la révision des prévisions de recettes. Le rapport relève aussi que "l'année 2010 marque la fin d'un cycle budgétaire lié aux premières années de montée en charge de la CNSA" et que les excédents de gestion initiaux - utilisés pour financer les plans d'aide à l'investissement - sont en voie d'épuisement. Ainsi que l'explique le rapport, en termes à la fois diplomatiques et réalistes, "les besoins futurs devront donc trouver une réponse dans les moyens de l'exercice, ce qui, dans le contexte général difficile des finances publiques et sociales, renforce les exigences d'efficience de la dépense".Deux cartes (page 47 du rapport) retiendront particulièrement l'attention des départements. Elles retracent en effet le taux de couverture des concours de la CNSA aux conseils généraux pour l'allocation personnalisée d'autonomie (APA) et pour la PCH en 2010. Pour l'APA, ce taux de couverture va de moins de 25% (tous les départements d'Ile-de-France sauf le Val-de-Marne, ainsi que la Seine-Maritime, l'Isère, les deux Savoie et la Corse-du-Sud) à plus de 40% (la Creuse et le Gers). Les écarts sont plus importants encore pour la PCH, puisque le taux de couverture par les financements de la CNSA va de moins de 45% pour environ la moitié des départements à plus de 100% pour le Pas-de-Calais, la Haute-Saône et la Guyane.
Post-scriptum : pour ne pas laisser dans l'ignorance ceux qui n'auraient pas le temps de consulter le lien ci-contre vers les chiffres clés 2011 de l'autonomie, les réponses aux questions posées en début d'article sont les suivantes : 83 ans et 10 mois pour l'âge moyen d'entrée en Ehpad, plus de 185.500 demandes de PCH déposées en 2010, 274,8 millions d'euros pour les coûts de fonctionnement et d'investissement des MDPH, et +4,1 années d'EVSI pour les femmes et +4,9 années pour les hommes à l'horizon 2060...
Lors de sa réunion du 5 juillet 2011, le conseil d'administration de la CNSA a débattu des conclusions des quatre groupes de travail mis en place par l'Etat dans le cadre du débat national sur le dépendance (voir notre article ci-contre du 21 juillet 2011). Qualifié par le rapport annuel 2010 lui-même d'à la fois "singulier et pluriel", le conseil d'administration est pourtant parvenu à dégager "des éléments de consensus" sur ces conclusions. Cette convergence de vues se limite toutefois à l'importance de la prévention de la perte d'autonomie, la coordination des acteurs (départements, agences régionales de santé, caisses de retraite) et le principe de libre choix de la personne entre maintien à domicile et entrée en établissement. En revanche, les membres du conseil ne sont pas parvenus à une conclusion unanime sur les questions de financement de la réforme, à l'issue d'"un débat riche et contradictoire". Les membres du GR31 - qui regroupe, au sein du conseil, les 31 organisations représentatives des personnes âgées, des personnes handicapées ou œuvrant à leur profit - ont également tenu à "défendre et promouvoir le modèle de gouvernance mis en œuvre au sein du Conseil de la CNSA depuis sa création".
Par ailleurs, Sabine Fourcade, la directrice générale de l'action sociale, a indiqué que le nouveau directeur de la CNSA - qui remplacera Laurent Vachey, non renouvelé à l'issue de son mandat de trois ans - "devrait être nommé en Conseil des ministres d'ici à la fin du mois de juillet".
Discours du Président de la République à l'occasion de la Conférence internationale sur la maladie d'Alzheimer - Présidence de la République
bla-bla-bla : la non réforme de la dépendance après des propositions inacceptables vont à l'encontre du soutien aux malades: au minimum application de la loi de 2005 et suppression de la barrière d'âge !
Accessibilité : après le neuf, l’existant, cible des dérogations ? L’APF passe à l’action le 27 septembre !
Accessibilité : après le neuf, l’existant, cible des dérogations ? L’APF passe à l’action le 27 septembre !
J'y serai et vous invite tous à faire de même et à relayer cette campagne !21/07/2011
Médecine du travail : 6 syndicats veulent une saisine du Conseil constitutionnel | Le Quotidien du Medecin
souhaitons que les parlementaires et le conseil constitutionnel suivent