Opéra brigade de libération des terrasses nous sommes venus libérer le passage pour les fauteuils rue d’Austerlitz en déplaçant la terrasse de la villa Tropezienne et du Martini Bar sur la chaussée après que la mairie ait accordé une dérogation pour installer une terrasse qui empêche de circuler sur le trottoir en prétendant que nous sommes dans une zone de rencontre ce qui est faux et en nous disant que nous devons circuler en fauteuil sur la chaussée : nous avons donc décidé d’installer la terrasse sur la chaussée puisque ça ne serait pas dangereux... La brigade de libération des terrasses est prête à s’attaquer à d’autres établissements qui s’installe illégalement et nous empêchent de circuler
ma réponse :
Le
problème est qu'il ne s'agit absolument pas d'une zone de rencontre :
Art
R 110-21 : «zone de rencontre : section ou ensemble de sections de voies en
agglomération constituant une zone affectée à la circulation de tous les
usagers. Dans cette zone, les piétons sont autorisés à circuler sur la chaussée
sans y stationner et bénficient de la priorité sur les véhicules. La vitesse
des véhicules y est limitée à 20 km/h. Toutes les chaussées sont à double sens
pour les cyclistes, sauf dispositions différentes prises par l’autorité
investie du pouvoir de police. Les entrées et sorties de cette zone sont
annoncées par une signalisation et l’ensemble de la zone est aménagé de façon
cohérente avec la limitation de vitesse applicable.»
Or
il n'y a aucune signalisation annonçant une éventuelle zone de rencontre (j'ai
des photos pour le prouver) et sur l'opendata de Toulouse cette rue ne fait pas
partie des zones de rencontre !
Dans
cette affaire c'est juste une zone de rencontre d'intérêts privés et de
copinage et Mr Bolzan aurait du éviter de nous prendre pour des imbéciles !
De
plus les zones de rencontre ne justifient en aucun cas l'occupation du trottoir
et le fait d'empêcher les fauteuils et poussettes de passer ! En les obligeant
à se mettre au milieu des voitures ! D'ailleurs Mr Bolzan n'a toujours pas
répondu à nos arguments !
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